Les habitants du quartier de l’Horloge ne s’en remettent toujours pas, les services des espaces verts de Paris ont coupé tous les arbres de leur quartier, rue Brantôme et passage des Maures. Aucune information préalable de la mairie centrale ou de la mairie d’arrondissement n’a été communiquée aux habitants (nombre d’entre sont représentés par l’ASSACTIVE qui n’était pas au courant), ni au syndic, ni à l’association syndicale libre du Quartier de l’Horloge (ASLQH). Le quartier a en effet le statut juridique de « quartier privé ouvert à la circulation du public », l’ASLQH gérant les moyens communs. Comme pour la glycine de la place du Tertre, l’opération donne l’impression d’avoir été menée en catimini.
Sur les arbres coupés dans cet espace très minéral une pancarte précise juste que les arbres seront remplacés sans préciser le pourquoi de l’abattage ni la date, tout juste est-il ajouté que les arbres ne pourront être replantés qu’entre novembre et mars…
Or les riverains estiment que les arbres n’étaient ni malades, ni morts. De nouveaux sujets selon le panneau devraient être replantés. Les riverains restent dubitatifs car Il y a plusieurs années déjà la ville avait coupé tous les cerisiers japonais dans la cour de la crèche Brantome qui n’ont jamais été remplacés malgré les promesses du maire d’arrondissement ! Lorsque l’école maternelle Brantôme à été transformée par la mairie en hébergement d’urgence (CHU) voilà deux ans, elle s’est bien gardée là encore de prendre l’avis des habitants.
Or les riverains estiment que les arbres n’étaient ni malades, ni morts. De nouveaux sujets selon le panneau devraient être replantés. Les riverains restent dubitatifs car Il y a plusieurs années déjà la ville avait coupé tous les cerisiers japonais dans la cour de la crèche Brantome qui n’ont jamais été remplacés malgré les promesses du maire d’arrondissement ! Lorsque l’école maternelle Brantôme à été transformée par la mairie en hébergement d’urgence (CHU) voilà deux ans, elle s’est bien gardée là encore de prendre l’avis des habitants.
Le quartier sans ses arbres apparaît de la sorte sinistré. Cette affaire laisse tous les riverains et habitués pantois laissant à leur interrogation le manque patent de communication de la Direction des espaces verts et davantage encore la « légalité » d’une telle action entreprise sur un espace privé ? Une bien curieuse façon de procéder qui ne va pas dans le sens d’un Paris plus vert et de la volonté de dialogue tant prônés par l’équipe municipale!