Les spécialistes  sont optimistes mais soulignent l’importance de faire en sorte que ce nouveau mode de déplacement s’intègre parfaitement aux usages de la ville, ce qui n’est pas gagné d’avance. Quand sera t-il du bruit ? Quels routes emprunter ? Est-on sûr que ces VTOL (nom de ces appareils volants) qui pourraient voler à 200 Km/h (30 km survolés en 1/4 d’heure), seront bien alimentés à 100% à l’électricité ? Et puis il est évident que peu de personnes utiliseront ces machines qui concernent un marché de niche.

Il restera aussi à obtenir les autorisations administratives pour survoler Paris, ce qui n’est pas gagné et conduit à imaginer que ces taxis volants effectueraient plutôt des vols périurbains, or pouvoir survoler Paris n’est pas acquis. La RATP de son côté veut rendre ces véhicules « accessibles au plus grand nombre » et avance l’idée d’un aller simple à 20 euros ?